25 septembre 2020
Après une saison écourtée suivie d’un été à préparer un retour hors du commun, toute la communauté de la Fédération québécoise de Kin-Ball s’apprête à relancer ses activités au cours des prochaines semaines.
Aux dires du directeur général de l’organisation, Marc-André de la Garde, l’engouement se fait sentir un peu partout dans la province à l’approche du retour du Kin-Ball dans les écoles, de même que dans les diverses ligues régionales.
« Toutes nos associations ont travaillé fort et nous nous approchons de notre objectif ! Lors de nos rencontres de groupe, toutes les régions ont mentionné que nos membres ont hâte de recommencer. C’est rassurant pour nous et nous voyons que les gens ont le désir de faire du sport. »
À l’image des autres fédérations ou organisations sportives et de plein air de la province, Kin-Ball Québec a pu compter sur une communauté passionnée pour aider dans les différentes phases de retour au jeu.
« Chez nous, pratiquement tout se fait de manière bénévole et nous avons dû doubler d’ardeur en raison des nouvelles normes. La bonne nouvelle, c’est que la majorité de nos intervenants sont revenus et ont démontré leur engagement. Tous les bénévoles ont le goût de se retrousser les manches et de recommencer », a souligné M. de la garde.
Ce dernier note aussi le travail effectué par les autres fédérations, telles que Baseball Québec, Soccer Québec et Hockey Québec, pour ne nommer que celles-ci, qui ont grandement aidé « les plus petites organisations » dans leur mise en œuvre du retour aux activités.
« Ça nous a donné un bon coup de main ! Nous avons pu avoir une base sur laquelle bâtir nos propres plans de relance avec les différentes associations régionales. C’est très apprécié. »
En plus d’intégrer les différentes mesures sanitaires et les recommandations de la santé publique, les plans de relance des différentes associations régionales comporteront quelques changements apportés aux règlements du Kin-Ball, le tout afin d’éviter le plus possible les contacts accidentels.
« Ce n’est pas un sport de contact, mais on est souvent proche, alors on a changé quelques règles. Nous avons réussi à minimiser le tout, sans dénaturer le sport », mentionne M. de la Garde, qui n’a pas chômé pendant cette pause forcée.
« Nous en avons profité pour tenir des formations en ligne afin d’améliorer nos compétences et offrir de meilleurs services. C’était l’occasion parfaite de le faire et je tiens à remercier tous ceux qui ont participé. Malgré les moments difficiles, on se serre les coudes et on ressent un mouvement de fraternité encore plus grand », a-t-il conclu.